Féministe n’est pas un gros mot 

Féministe n’est pas un gros mot 

Féministe n’est pas un gros mot 

Féministe n’est pas un gros mot 

Féministe n’est pas un gros mot 

Théâtre

Féministe n’est pas un gros mot 

00:50

JE 06 NOV 20:00

Le Senghor – Salle 1900

€ 

Gratuit

Réservation obligatoire.

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Bord de scène pour échanger après le spectacle (animation-débat)

Distribution

DRAMATURGIE ET MISE EN SCÈNE : Laura Bejarano

AVEC : Ignazia Abis, Julie Bultot, Bernadette Dessart, Christine Falques, Barbara Leclercq, Frosi Mammei, Sara Mendicino, Laura Sturiale

 

CRÉATION LUMIÈRE ET VIDÉO : Rafael Teixeira

 

MUSIQUE : Zacharie Viseur

 

Voix off avec le soutient de Studio ARAM

Le Senghor en collaboration avec le service Egalité des Chances de la commune d’Etterbeek propose de mettre en lumière la troupe « les chanceuses » issue de l’association « Solidarité Femmes » qui est un refuge pour femmes battues et victimes de violence.

 

Cette pièce de théâtre est une création collective réalisée en collaboration avec le théâtre des rues.

 

“Elle ne se rase pas”, “Elle déteste les hommes”, “Elle est enragée”, les préjugés et les idées reçues sur les féministes ont encore de beaux jours devant eux dans un contexte où de plus en plus de voix s’élèvent pour défendre les droits des femmes.

Le mot “féministe” fait peur. Nombreux•ses sont celles et ceux qui ne souhaitent pas y être associé•es.

 

Le mot “féministe” agace. “Est-il vraiment encore nécessaire de parler de militer pour l’égalité des genres dans une société où tout est déjà acquis ?”

Si en Belgique des normes et des lois qui prônent l’égalité ont été mises en place, leur application concrète ne coule pas encore de source et les discriminations de genre sont solidement ancrées dans la réalité de millions de femmes, à tout âge.

Alors, pourquoi et pourquoi faut-il encore se battre aujourd’hui ?

 

Pour répondre à cette question, les Chanceuses de Solidarité Femmes deviennent les émissaires des luttes féministes quotidiennes ; celles des métros, des rues, des salons, des tribunes, des bureaux… en clamant avec force et légèreté que “féministe n’est pas un gros mot”.